Gaëlle Barret
Je m’appelle Gaëlle Barret, j’ai 46 ans. Je suis née à Souvigny, je suis bourbonnaise d’origine et moulinoise depuis toujours, ou presque. Je suis cogérante d’une entreprise de commerce de gros, une activité dans laquelle je suis arrivée un peu par hasard. J’ai découvert un univers vivant, dynamique, passionnant. Dix ans plus tard, j’ai eu l’opportunité de m’associer avec le gérant et je me suis installée définitivement.
Mon travail me met en contact avec des personnes très variées : des chefs de rayon, des directeurs de supermarché, des établissements scolaires, des maisons de retraite, des producteurs locaux… Ce qui me plaît, c’est justement cette diversité et cette énergie. Je vis à la Madeleine, ce quartier qu’on appelle parfois “la ville dans la ville”, avec mon fils.
Si j’ai accepté de m’engager sur la liste de Benoît, c’est parce qu’il incarne pour moi le renouveau. Il est originaire d’ici, mais il est allé voir ailleurs avant de revenir, avec des idées nouvelles, une ouverture sur le monde, une vision qui dépasse nos frontières locales. Et je trouve qu’on a besoin de ça : de quelqu’un qui aime Moulins tout en ayant le recul et l’expérience d’ailleurs.
Moulins a de vrais atouts. C’est une jolie ville, à taille humaine, avec le confort d’une grande ville et la tranquillité de la campagne. Il y a des choses à améliorer, c’est sûr, mais il y a un vrai potentiel. L’Allier, les berges, ses bâtiments historiques et classés … tout ça, ce sont des trésors qui méritent d’être mis en valeur.
Je suis très attachée à la vitalité économique et commerciale de Moulins. J’aimerais qu’on redonne envie aux gens de consommer localement, de revenir dans les commerces moulinois. Plus largement, ce que je souhaite, c’est faire rayonner Moulins. J’ai la sensation que la ville s’éteint, alors qu’elle pourrait briller. Elle mérite qu’on parle d’elle, qu’on la fasse connaître, qu’on attire de nouvelles énergies.
Ce que j’aime dans la démarche de Benoît, c’est qu’il ouvre les portes à tout le monde. Il n’y a pas d’étiquette politique, pas de clivage. Il veut réunir des gens d’horizons différents, avec leurs compétences, leur expérience, leur bon sens. J’ai envie d’apprendre, d’aider, de participer. Et je crois que c’est aussi ça, être utile : apporter son regard, son énergie, ses idées.
Je crois beaucoup à la force du collectif. On n’invente pas toujours de grandes choses, mais on peut faire mieux, ensemble.
